Géobiologie et bioénergétique

Jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, dans beaucoup de pays dont la France, il était naturel de consulter le sourcier du coin pour déterminer un point de forage ou pour optimiser la localisation d’une construction destinée à l’habitation ou à l’élevage. Pour valider un choix d’installation, il était même d’usage d’y placer des poules dans un enclos et d’observer leur évolution sur quelques semaines.

Le sourcier, praticien de la radiesthésie, travaillait traditionnellement sur le terrain avec des baguettes de coudrier (noisetier).
Aujourd’hui ses baguettes peuvent être en plastique et sur le terrain il pourra aussi employer un simple pendule, un lobe-antenne Hartmann ou encore des baguettes coudées (rad master).

Rad Master ou baguettes coudées. L’opérateur marche en les tenant par les poignées, parallèles et horizontales. Les baguettes s’écarteront ou se rapprocheront spontanément lors du passage au-dessus d’une veine d’eau par exemple.

Le travail sur plan est beaucoup plus simple et tout aussi valable. Il se fait plutôt au pendule.

Pendule de radiesthésie, type « égyptien » en bois.

Très schématiquement, le principe de la géobiologie met en jeu des zones biotiques favorables au développement vital et des zones abiotiques défavorables au développement mais favorables à la dégradation/régénération et définit qu’un espace vital devrait être localisé dans une zone biotique.

Contre toute attente, l’étude géobiologique a déterminé que la zone autour de ce massif d’arbustes est l’endroit le mieux approprié pour l’installation d’un enclos. Une autre était aussi valable du point de vue bioénergétique mais moins pratique à aménager.

Il n’est surtout pas question de réduire la matière géobiologique à une classification anxiogène « positif » ou « négatif » ou encore « bon » ou mauvais » mais simplement :

  • d’une part de considérer qu’un espace donné peut être adapté à un usage ou une installation et inadapté pour un autre,
  • d’autre part de détecter et identifier d’éventuels facteurs de perturbation liés à des pollutions chimiques, des pollutions rayonnantes ou des pollutions électromagnétiques dans le but d’informer et autant que possible d’y apporter une correction.

Exemples de facteurs de perturbation : cours d’eau de surface ou souterrain, poches karstiques etc. (hydrologie), gisement métallifères, failles telluriques etc. (géologie), réseaux magnétiques terrestres naturels, réseaux hertziens (radar ou télécom), rayonnements ionisants naturels ou artificiels…

Une étude géobiologique complète a donc pour but de déterminer la localisation et l’orientation les plus favorables d’une installation et d’en optimiser la vitalité. Elle comprend normalement un état des lieux et un plan de correction/optimisation permettant de compenser ou de corriger presque toutes les perturbations.

Nous pensons que, comme jadis, une étude géobiologique ne devrait jamais être un luxe mais être naturellement accessible au plus grand nombre. Si vous le souhaitez, nous pouvons réaliser la vôtre ainsi que la correction à coût abordable. N’hésitez pas à nous contacter.


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