Archives de catégorie : Installation des Gauloises

Nos reproducteurs

Nous ne nous projetons pas comme naisseurs (producteurs de sujets en nombre partir de reproducteurs donnés) mais comme sélectionneurs (recherche de sujets caractérisés).
Nous voulons aussi que notre élevage se mette en place avec notre environnement sans l’endommager. Par conséquent 30 à 40 sujets (reproducteurs et produits y compris poussins et juvéniles) est un effectif maximum que nous pensons pouvoir accueillir.

Parce qu’elle ne se reproduisent pas et que leur occupation spatiale est très faible, les poules pondeuses ne sont pas comptées dans cet effectif.

Pour la saison 2021, nous projetons de continuer de faire reproduire notre première lignée qui a apporté beaucoup de satisfaction avec globalement de beaux sujets.

Nous avons accueilli un jeune coq (éleveur Damien VIDART) à qui nous destinons 2 ou 3 jeunes poules sélectionnées parmi nos produits de lignée 1 (juin 2020).

Nous avons enfin sélectionné Gypse, (lignée 1, juin 2020) comme nouveau reproducteur.

Pour la saison 2021, nous aurons donc 3 lignées au total.

REPRODUCTEURS


Lignée 1


1 coq gauloise saumon doré de mars 2019.
Nom : Valérian. Répond au nom de « Coq ».
Éleveur : Pierre Latorre (33)

Bagué et jugé à la foire avicole de Langon, note 95.

Particularités
Les + : très belle crête, plumage serré et coloris remarquables, beau gabarit avec belles lignes, dos et poitrines forts. Chant harmonieux. Grandes ailes puissantes.
Les – : Oreillons légèrement marqués de rouge en bordure, barbillons un peu longs mais de très belle couleur. Occasionnellement seulement, en présence de poules ou de provocations rivales, queue portée un peu relevée.

Valérian est un coq Gauloise bien typé. Ici âgé de 8 mois.
La clôture électrifiée ne sert pas à contenir les Gauloises mais à empêcher les visites nocturnes indésirables. Sert aussi occasionnellement de perchoir porte-voix…

Très beau reproducteur très instinctif. Charisme très marqué. Vole sur 50 à 100 m, décolle à la verticale jusqu’à plus de 3 m. Confiant, il répond à son nom, nous laisse le guider et nous appelle vraiment en cas de besoin. En revanche, il déteste être manipulé. N’a nécessité aucun traitement en 2020, très belle santé.

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est IMG_20200717_110839-Valerian-juin-2020.jpg.
Valérian notre reproducteur gauloise à 15 mois. Il fera sa première mue3 mois après cette photo, fin septembre.

1 poule gauloise de mai 2019.
Nom : Valériane. Répond au nom de « Maman ». Favorite de Valérian.
Éleveur : Jean-Paul GAULIER – 39570 Saint Laurent la roche

Particularités
Les + : très typée, constitution « étendue » avec belle ligne légère, belle crête droite et régulière, plumage serré et queue parfaitement portée ; coloris remarquablement adapté, absence de poivré, absence de liserés sur le dos. Vole incroyablement bien. Reproductrice d’un instinct exceptionnel. Très intelligente.
Les – : ne supporte pas du tout la claustration ; ne pond pas en pondoir ; pondeuse régulière mais hors cycles qui peuvent être très longs (3 sem. de couvaison et 2 mois 1/2 d’élevage août 2020 = 3 mois sans ponte).

Naissance et élevage naturels. Baguée, non jugée. Très belle poule à la stature fine mais consistante. Vole sur plus de 100 m et décolle à la verticale à 5 m au moins. Couve en pleine nature. Instinct très développé et relation très proche.

Début de ponte janvier 2020, une centaine d’œufs
3 couvaisons, éclosions 8 mars (5n), 20 mai (8n), 26 août 2020 (11n) donc 24 naissances.


1 poule gauloise de septembre 2019.
Nom : Poulette, répond à son nom. Seconde épouse de Valérian.
Éleveur : Jean-Paul GAULIER – 39570 Saint Laurent la roche

Particularités
Les + : jolie poule de gabarit limité et de type oméga (non dominante). Facile à vivre. Instinctive et intelligente. Très belle santé hormis une petite sensibilité à la gale des pattes (facilement traitée). Belle robe avec joli plumage serré, absence de poivré sur la poitrine et absence de liserés sur le dos. Bon vol.
Les – : développement limité certainement par une carence alimentaire en bas âge (naissance et élevage naturels en septembre) : a donné naissance à des sujet de belle constitution ; petite crête mais manquant de régularité.

Non baguée. Jolie poule de type oméga (non dominante) au développement un peu limité en allongement ; vive, un peu timide et délicate, s’est affirmée avec sa seconde couvaison.

Début de ponte avril, une soixantaine d’œufs
2 couvaisons, éclosions 26 mai (5n), 16 septembre (4n) donc 9 naissances en couvoir.


Lignée 2 , premières couvaisons imaginables au printemps 2021.


1 coq gauloise saumon doré né à la fin du printemps 2020
Nom : Pangloss
Éleveur : Damien Vidart – 10170 Méry sur Seine

Particularités
Les + : bien que jeune, Pangloss présente déjà une belle ligne et une belle robe remarquablement colorée ; plumage serré ; bon gabarit tendu et équilibré ; chant harmonieux à 2 tons ; grandes ailes portées hautes qu’il fait battre bruyamment juste avant de chanter. Oreillons très blancs et assez grands. Port de queue correctement incliné : barbillons de bonne taille.
Les – : belle crête droite et bien colorée mais crétillons peu nombreux.

Encore jeune pour une appréciation vraiment valable, à 5 mois 1/2 il n’a pas encore les arguments pour rassembler une tribu autour de lui mais il est très décidé. Beau coq très prometteur.

Pour cette seconde lignée, nous sommes en train de sélectionner 2 poules dans les groupes G9 (lignée 1, juin 2020) et G11 (lignée 1, août 2020).


Lignée 3 , premières couvaisons imaginables au printemps 2021.


1 coq gauloise saumon doré de juin 2020, issu de la lignée 1.
Nom : Gypse
Éleveur : sujet vernaculaire (né ici chez nous)

Non bagué et donc non jugé.

Particularités
Les + : beau gabarit avec belles lignes, dos et poitrines forts ; très belle crête, plumage serré et coloris remarquables ; oreillons très blancs ; ailes puissantes portées assez haut ; belle queue portée très correctement ; chant harmonieux à 1 ton ;
Les – : oreillons souhaitables un peu plus grands.

Gypse, juvénile de 6 mois mais chef de clan reconnu par ses poules qui désigne déjà les lieux de ponte. Une très belle allure tonique. Un habit de lumière relevé d’iridescences bleues et vertes sur les plumes noires de la queue, des ailes ou de la poitrine. Un peu « macho » devant ses poules, Gypse a un caractère doux très équilibré. Comme la plupart de nos sujets, il picore dans la main et peut percher sur le bras.

Sujet très prometteur à apprécier dans le temps. Aucun défaut flagrant. Très bon vol. Coq confiant et sociable. Tout jeune, s’est montré très « responsable » avec son groupe.

3 poulettes de parents différents arrivent dans le clan « Gypse », 2 poulettes de juin 2020 et 1 poulette d’août 2020.
Éleveur : Damien Vidart – 10170 Méry sur Seine


Pour connaître le cheptel des sujets disponibles :
 » Vente – Échange et Troc « 


Partie précédente :
DÉCOUVREZ NOTRE ÉLEVAGE OBSERVATOIRE !
Suite :
LA GÉOBIOLOGIE COMME AIDE À L’ÉLEVAGE

Le tempérament Gaulois

Nous nous passionnons pour la modernité en général, c’est-à-dire l’étude et la mise en pratique de solutions concrètes à des problématiques actuelles ou naissantes de l’équipement, de l’énergie, de la santé ou de la mécanique relationnelle et sociale.
Or nous vivons en rase campagne ou isolés en milieu forestier avec des coqs et des poules rustiques même pas pucées ni géolocalisées, qui ne bouffent pas des aliments équilibrés dans des distributeurs mais de vulgaires graines à même le sol quand ce ne sont pas des sales bestioles trouvées dans la terre…

Alors, elle est où ta modernité ?

On dit « laboratoire » et tout le monde pense naturellement à un truc du style les Experts, paillasses aseptisées en faïence et formica blancs avec des cobayes en boîtes de plexiglas au service de la Science et de la trilogie santé, vérité et progrès.

En fait, l’avenir promis il y a 50 ans, est atteint. Terminus. Les logiques de masses (production, consommation, distribution, transports et communication), de dépendance programmée et de gain de temps atteignent leurs limites.

Les temps modernes (1936) – Charlie CHAPLIN. Une perspective visionnaire à bien des égards…

Résultat, ces logiques anxieuses sont déjà en sursis avec un pied traînant dans un passé révolu.

Loin de la concentration urbaine et de son tumulte, il est davantage possible d’apercevoir qu’aujourd’hui la modernité parle d’ici et de maintenant, du temps comme ami et source de bonheur.

Exercice matinal quotidien : 15 à 20 mn de distribution manuelle de pain dur. Chaque minute est un investissement positif, l’occasion d’examiner chaque sujet, d’entretenir le lien et également de stimuler leur agilité et leur vivacité en soutenant les « traînards ».

La modernité se retrouve de moins en moins dans les promesses, le tape-à-l’œil, la surconsommation et l’hyperactivité qui étourdissent.
Elle se trouverait plutôt dans une façon d’expérimenter la vie avec curiosité et nous sommes de plus en plus nombreux à envisager la modernité comme une attitude souple et enthousiaste qui subit moins, en se retroussant les manches pour créer ses propres ressources.

Alors oui, un élevage naturel et un élevage classique associés sont ensemble un laboratoire vivant privilégié pour faire connaissance avec la nature Gauloise et découvrir jour après jour comment, par exemple, minimiser les contraintes et inconvénients de la captivité ou de la liberté, comment prévenir naturellement les pertes par pathologie induite, comment développer l’instinct de conservation et les aptitudes à survivre des Gauloises ou tout simplement comment réussir un élevage sain à la maison.

Notre reproducteur Valérian veille sur l’harmonie du groupe constitué de 3 générations. Entre lui et nous, une entente logique : c’est à lui que nous déposons la nourriture. Il appelle les siens « pouc ! pouc! pouc! » et honore son autorité en distribuant la nourriture aux poules d’abord et en rationnant éventuellement les mâles. Lui se nourrit en dernier. Idem avec une poule maternante, elle trouve ou perçoit la nourriture et la distribue et tout roule…

Nous faisons le pari qu’élever des Gauloises près de la famille ou de la tribu est certainement un choix tourné vers un bel avenir car il est une alternative heureuse aux logiques de dépendance programmée coûteuses et pathogènes.

Pour finir, sachez que les Gauloises sont des coqs naturellement fiers et protecteurs et des poules attentionnées et débrouillardes.

Le coq comme emblème. Petit documentaire.


Mais surtout, nous avons eu de nombreuses illustrations de leur courage et de leur intelligence surmontant le danger et de cette bonté qui solidarisent leurs tribus : des traits de valeur qui font vraiment le tempérament gaulois et qui légitimerait que ce coq redevienne l’emblème inspirant de la France et de tous les Français !


SUITE : UN ÉLEVAGE OBSERVATOIRE

Un élevage Observatoire

Nous vivons dans le Parc Naturel des Landes de Gascogne entre sud Gironde et Landes. L’élevage a lieu dans un airial isolé, l’habitat traditionnel d’ici : quelques bâtiments maçonnerie et bois dans une clairière au milieu d’un immense massif forestier de pins maritimes et de feuillus. Le relief est totalement plat et le climat océanique. Il gèle une quinzaine de jours par an.

À gauche, l’élevage libre de Maxime & Shed et à droite, l’élevage en parc de Pierre.

Notre environnement est plutôt sauvage, sans clôtures. Sur une dizaine d’hectares il présente :

  • des zones de taillis (végétation arbustive de houx, de lauriers-cerises, d’aubépine et autres espèces buissonnantes),
  • des étendues herbeuses parsemées de buissons, arbrisseaux et plantées de très grands chênes centenaires offrant ombre et fraîcheur en été,
  • des zones de haies touffues ou épineuses de 2 à 3 m de hauteur,
  • des zones de forêt de feuillus aux sous-bois de lande (callune/bruyère, ajonc, bourdaine, fougères, lierre rampant etc.),
  • enfin des fossés (1 m de profondeur, 2 m de largeur) humides une bonne partie de l’année.

Il fourmille de très nombreux animaux sauvages : chevreuils, sangliers, faisans communs et vénérés, écureuils et même tortue cistude. Nombreux oiseaux aussi y compris échassiers migrateurs etc.
Et forcément, de très nombreux prédateurs : renards, blaireaux, martres, fouines, chats harets ainsi que de nombreux rapaces diurnes (buses ou milans) ou nocturnes (chouettes et grands ducs).
À noter enfin, nombreux prédateurs bipèdes en saison avec meutes de chiens courants.


Espace et territoires

Hormis la nuit qu’ils passent dans l’enclos fermé pour empêcher les attaques de prédateurs, nos Gauloises sont totalement libres de circuler et même de traverser les routes.
En fait, ils vivent en tribus avec pour chacune un territoire assez fixe qui semble défini par des habitudes de parcours au cours de la journée (aptitude à trouver et à extraire la nourriture, repos et hygiène).

Mais le facteur principal reste leur instinct de conservation qui dicte les secteurs possibles et les zones interdites. Ils n’occupent finalement qu’une superficie de 2 hectares et demi autour des habitations et la pleine forêt ne les intéresse pas du tout.

La zone en rose est constituée de buissons touffus et bas à l’abri de grands chênes : parfaite pour les tout petits jusqu’à 3 semaines.

Zone rose à la limite de la zone jaune. À mesure que les petits grandissent, la mère poule élargit le territoire à des endroits moins touffus.

La zone en jaune est assez humide, tapissée de lierre, plantée de taillis et massifs arbustifs à feuillage persistant dense et petit bois de conifères, fréquentée par les jeunes jusqu’à 3 ou 4 mois.

Zone jaune, groupe de jeunes de 3 mois 1/2 sous la surveillance de Glyphe, coq de 5 mois 1/2.
Partie commune aux zones bleu et jaune, très appréciée par les poulettes et coquelets mais pas assez sûre pour que les tout petits y séjournent.

La zone bleue longeant un fossé est restée humide et fraîche lors de la sècheresse, elle a été fréquentée puis adoptée par un groupe dès 3 mois malgré les risques de prédation diurne (renard et chats haret, chiens de chasse en saison).

Zone bleue. Repos dans la fraîcheur matinale toujours sous la surveillance d’un coq même jeune. Sujets âgés de 5 mois et demi.

Les gauloises évoluent plutôt bien dans les sous-bois épineux qui leur offrent une certaine sécurité.
Âgés de 5 mois et demi et la menace rapace étant réduite à la saison froide, ils débordent désormais sur la zone verte.

La zone verte est en grande partie dégagée donc souvent frappée par les rapaces surtout au printemps et en été. Elle comporte beaucoup de refuges possibles mais reste la zone où ont été emportés nos 6 disparus de l’année 2020.

Quelques poules du groupe G9 à 4 mois 1/2 se reposant au centre de la zone verte très exposée aux rapaces. Ce groupe fréquente surtout la zone bleue située à l’arrière plan, forêt avec sous-bois d’épineux bordée par un fossé souvent humide ou en eau,

Elle est fréquentée par les adultes sous la garde d’un coq qui veille du mieux qu’il peut.
Nous réfléchissons à une protection par maillage lâche de fils tendus (filets anti-hélicoptères de prisons) qui n’empêcheraient pas les attaques mais le contact avec nos gauloises. Ce dispositif devrait les protéger sans affecter leur instinct de conservation.

CONTRAINTES ET LIMITES DE L’ÉLEVAGE LIBRE

En fait, l’élevage libre tel que nous le pratiquons demande beaucoup d’attention et d’interventions essentiellement en raison des prédateurs diurnes et nocturnes. Notre principale contrainte est la sécurité du cheptel.

Créer un immense enclos et un maillage anti-rapaces sur une zone dangereuse ou étudier un modèle de perchoir artificiel sans électricité ni grillage qui plairait à nos gauloises ? Le poulailler landais en est un exemple. Il ne resterait plus alors que la question des petits ne perchant pas encore.

La question de la ponte. Naturellement, les gauloises pondent là où le coq l’a suggéré. Il est arrivé qu’il agrée un pondoir ou un aménagement de ponte mais ça n’est pas systématique et la poule va alors pondre dans la nature où les risques sont élevés. À quoi pourrait ressembler un pondoir naturel sûr ?

En fait, nos questionnements tiennent au fait que nous préférerions sécuriser sans isoler du milieu naturel car le développement de l’instinct de conservation de nos gauloises nous intéresse…


Partie précédente :
LE TEMPÉRAMENT GAULOIS
Suite :
NOS REPRODUCTEURS

Géobiologie et bioénergétique

Jusqu’à la fin de la seconde guerre mondiale, dans beaucoup de pays dont la France, il était naturel de consulter le sourcier du coin pour déterminer un point de forage ou pour optimiser la localisation d’une construction destinée à l’habitation ou à l’élevage. Pour valider un choix d’installation, il était même d’usage d’y placer des poules dans un enclos et d’observer leur évolution sur quelques semaines.

Le sourcier, praticien de la radiesthésie, travaillait traditionnellement sur le terrain avec des baguettes de coudrier (noisetier).
Aujourd’hui ses baguettes peuvent être en plastique et sur le terrain il pourra aussi employer un simple pendule, un lobe-antenne Hartmann ou encore des baguettes coudées (rad master).

Rad Master ou baguettes coudées. L’opérateur marche en les tenant par les poignées, parallèles et horizontales. Les baguettes s’écarteront ou se rapprocheront spontanément lors du passage au-dessus d’une veine d’eau par exemple.

Le travail sur plan est beaucoup plus simple et tout aussi valable. Il se fait plutôt au pendule.

Pendule de radiesthésie, type « égyptien » en bois.

Très schématiquement, le principe de la géobiologie met en jeu des zones biotiques favorables au développement vital et des zones abiotiques défavorables au développement mais favorables à la dégradation/régénération et définit qu’un espace vital devrait être localisé dans une zone biotique.

Contre toute attente, l’étude géobiologique a déterminé que la zone autour de ce massif d’arbustes est l’endroit le mieux approprié pour l’installation d’un enclos. Une autre était aussi valable du point de vue bioénergétique mais moins pratique à aménager.

Il n’est surtout pas question de réduire la matière géobiologique à une classification anxiogène « positif » ou « négatif » ou encore « bon » ou mauvais » mais simplement :

  • d’une part de considérer qu’un espace donné peut être adapté à un usage ou une installation et inadapté pour un autre,
  • d’autre part de détecter et identifier d’éventuels facteurs de perturbation liés à des pollutions chimiques, des pollutions rayonnantes ou des pollutions électromagnétiques dans le but d’informer et autant que possible d’y apporter une correction.

Exemples de facteurs de perturbation : cours d’eau de surface ou souterrain, poches karstiques etc. (hydrologie), gisement métallifères, failles telluriques etc. (géologie), réseaux magnétiques terrestres naturels, réseaux hertziens (radar ou télécom), rayonnements ionisants naturels ou artificiels…

Une étude géobiologique complète a donc pour but de déterminer la localisation et l’orientation les plus favorables d’une installation et d’en optimiser la vitalité. Elle comprend normalement un état des lieux et un plan de correction/optimisation permettant de compenser ou de corriger presque toutes les perturbations.

Nous pensons que, comme jadis, une étude géobiologique ne devrait jamais être un luxe mais être naturellement accessible au plus grand nombre. Si vous le souhaitez, nous pouvons réaliser la vôtre ainsi que la correction à coût abordable. N’hésitez pas à nous contacter.


LES NOURRIR, LES SOIGNER ET VIVRE ENSEMBLE